• Guérison

    Bonjour,

    Ce blog n'est plus très actif, j'ai tenté de me détacher de ce problème petit à petit.

    Juste un petit mot pour vous dire que notre fils a fini par guérir à 14 ans.

    Bon courage à tous les parents d'enfants qui sont encore sur le chemin vers le sommet de la montagne. Un jour ils arriveront au bout de ce périple !

     

     


  • Commentaires

    1
    oli
    Mercredi 23 Février 2022 à 21:48
    Bonjour, Je comprends votre fils est guéri à 14ans. Pourriez-vous dire quelles solutions ont fini par être utiles? Comment avez-vous résolu ce problème? après combien d'années de lutte contre l'encoprésie?
    2
    karineyrd
    Lundi 30 Mai 2022 à 13:35
    karineyrd

    Bonjour, je vais lire votre blog car mon petit garçon est atteint d'encoprésie depuis 2 ans.

    3
    Moonlight
    Vendredi 11 Novembre 2022 à 07:56
    Bonjour à toutes les mamans et papa, Super-héros. Je veux partager notre expérience, que votre enfant souffre d’encoprésie primaire ou secondaire, ce que ce symptôme nous montre est que ces enfants-là sont en fait un trésor de sensibilité. Dans les 2 cas, la physiologie peut faire partie du pb (sphincter détendu donc manque de sensation par example) et ou la psychologie (pb de famille, de communication, peur d’avoir mal en allant aux toilettes). Pour nous ça a été un combo! Mon fils était propre mais j’étais à la maison les 1eres années, puis j’ai repris le travail et les pb ont commencé. Ajoutez à ça un déménagement suivi d’une séparation de ses parents, un épisode traumatisant et de la constipation, nous étions dedans jusqu’au cou!!! Ça a été dur, un combat, une torture pour tous. Jusqu’à ce que nous réalisions que ce fléau nous impactait profondément dans notre rapport les uns aux autres. Que de tensions! Et ça fonctionne dans les 2 sens, nos réactions de parents vont encore plus impacter un enfant qui souffre de manque de confiance. Réaliser ça est un pas vers la guérison. Ensuite c’est souvent lié à la famille, au groupe éducatif, d’une façon ou d’une autre. Et cest en partie là que la solution réside. Pourquoi ? Parce que par cette réaction l’enfant va indirectement agir lui aussi sur le noyau familial, tout comme la famille agit sur le symptôme. Pour nous, ça a été chaotique mais au fur et à mesure des mois, nous avons réappris à communiquer, discuter les options, médicales, traitements, horaires, discours, alimentation, tout. Même en étant séparés. Ce qui nous a aidé : - observer l’enfant, son timing et s’y adapter - proposer avec régularité sans gronder (pas un succès au départ, surtout quand on est soi-même au bout du rouleau) - boire beaucoup pendant la journée et arrêter après 18h pour éviter l’énurésie (oui celle-ci s’est aussi joint à la « fête ») - une alimentation bourrée de fruits, légumes, graines de lins ajoutées aux recettes, ajout d’huiles végétales en parallèle, jus frais, pruneaux trempés une nuit dans un sirop vanille, pas de lait de soja mais amande, avoine, noisette, pistache… - l’entrainement (s’asseoir avec une activité au moins 10 min par j, essayer différents horaires, un moment que l’enfant associe à la détente) et surtout dans la bonne position, les genoux surélevés dans avec un appuie pour les pieds - beaucoup d’amour et de gentils mots, qui encouragent car un enfant sensible n’a besoin de personne pour d’auto-dévaloriser, je peux vous l’assurer. Alors à travers toutes ces souffrances communes, maintenant à 10 ans, nous essayons de maintenir tout ça et ca fonctionne la majorité du temps. La patience et l’amour c’est tout ce qui me motive, c’est dur et c’estpiyr ça que je veux partager ce que nous vivons. Pour moi, la guérison est là car les sensations sont revenues pour mon fils, il essaie de lui-même et la communication est rétablie. S’il y a un incident, nous n’en faisons plus un drame. Ah oui, aussi je prends soin de moi car c’est sur nous que les enfants prennent example. A l’amour et aux solutions!
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    Moonlight
    Vendredi 11 Novembre 2022 à 08:13
    Bonjour à toutes les mamans et papa, Super-héros. Je veux partager notre expérience, car c’est important de se soutenir tous en tant que parents. Que votre enfant souffre d’encoprésie primaire ou secondaire, les solutions seront différentes d’un enfant à un autre il me semble. Donc à vos casquettes de détectives et trouvons ce qui convient pour chacun! Une chose est sûre, c’est que ce symptôme nous montre est que ces enfants-là sont en fait un trésor de sensibilité. Dans les 2 cas, la physiologie peut faire partie du pb (sphincter détendu donc manque de sensation par example) et ou la psychologie (pb de famille, de communication, peur d’avoir mal en allant aux toilettes). Pour nous ça a été un combo! Mon fils était propre mais j’étais à la maison les 1ères années, puis j’ai repris le travail et les pb ont commencé. Ajoutez à ça un déménagement suivi d’une séparation de ses parents, un épisode traumatisant et de la constipation, nous étions dedans jusqu’au cou!!! Ça a été dur, un combat, une torture pour tous. Jusqu’à ce que nous réalisions que ce fléau nous impactait profondément dans notre rapport les uns aux autres. Que de tensions! Et ça fonctionne dans les 2 sens, nos réactions de parents vont encore plus impacter un enfant qui souffre de manque de confiance. Réaliser ça est un pas vers la guérison. Ensuite c’est souvent lié à la famille, au groupe éducatif, d’une façon ou d’une autre. Et c’est en partie là que la solution réside. Pourquoi ? Parce que par cette réaction l’enfant va indirectement agir lui aussi sur le noyau familial, tout comme la famille agit sur le symptôme. Pour nous, ça a été chaotique mais au fur et à mesure des mois, nous avons réappris à communiquer, discuter les options, médicales, traitements, horaires, discours, alimentation, tout. Même en étant séparés. Ce qui nous a aidé : - observer l’enfant, son timing et s’y adapter - proposer avec régularité sans gronder (pas un succès au départ, surtout quand on est soi-même au bout du rouleau) - boire beaucoup d’eau pendant la journée, si possible ajouter du magnésium marin ou du Nigiri et arrêter après 18h pour éviter l’énurésie (oui celle-ci s’est aussi joint à la « fête ») - une alimentation bourrée de fruits, légumes, graines de lins ajoutées aux recettes, ajout d’huiles végétales en parallèle, jus frais, pruneaux trempés une nuit dans un sirop vanille, pas de lait de soja mais amande, avoine, noisette, pistache… - l’entrainement (s’asseoir avec une activité au moins 10 min par j, essayer différents horaires, un moment que l’enfant associe à la détente) et surtout dans la bonne position, les genoux surélevés, par exemple avec un appuie pour les pieds - beaucoup d’amour et de gentils mots, qui encouragent car un enfant sensible n’a besoin de personne pour d’auto-dévaloriser, je peux vous l’assurer. Et tout ça avec régularité, sans jamais se décourager (sans le montrer à l’enfant, se recharger et y retourner avec courage). Alors à travers toutes ces souffrances communes, maintenant à 10 ans, nous essayons de maintenir tout ça et ca fonctionne la majorité du temps. La patience et l’amour c’est tout ce qui me motive, c’est dur et c’est pour ça que je veux partager ce que nous vivons. Pour moi, la guérison est là car les sensations sont revenues pour mon fils, il essaie de lui-même et la communication est rétablie. S’il y a un incident, nous n’en faisons plus un drame. Ah oui, aussi je prends soin de moi car c’est sur nous que les enfants prennent example. A l’amour et aux solutions!
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